À partir de 16 ans
Théâtre
1h
La première violence est de s’arroger le droit de disposer de l’autre. Du corps de l’autre. Au nom d’une supériorité légitimée par la naissance, le sexe, l’argent, la position sociale ou encore par des lois humaines ou divines.
Elle a tué un homme, son mari. Elle sort de prison, quinze ans après. Mais, après avoir purgé sa peine, a-t-elle vraiment retrouvé la liberté ? Être une femme en Algérie est déjà propice à l’enfermement et au silence. Être une femme condamnée pour avoir ôté la vie d’un homme est au-delà des mots. Un texte sur la violence ordinaire d’une société qui ne pardonne rien aux femmes, sur la violence réelle qu’une femme peut subir dans la honte et la douleur – jusqu’à ce que, parfois, elle commette l’irréparable.
Texte Maissa Bey
Adaptation théâtrale et mise en scène Kheireddine Lardjam
Avec Linda Chaïb et Salah Gaoua
Création lumière Manu Cottin
Son Thibaut Champagne
Chargée de production Marion Galon
Administratrice de production Célia Kwasniewski
Production compagnie El Ajouad
Coproduction Institut français d’Algérie à Tlemcen.
Avec le soutien du Palais de la Culture de Tlemcen